Tout fout l’camp !

Stańczyk, Jan Matejko (1862)

Reviennent, sur le devant de la scène où se joue le navrant spectacle de l’humanité, de vieux fantômes que l’on croyait définitivement exorcisés. Mais enfin, quelle naïveté ! Comme s’ils avaient disparu tout ce temps et réapparaissaient miraculeusement ! Rien n’est jamais définitif avec l’homme, rien n’est jamais assuré. Rien. Si ce n’est sa capacité à s’enfoncer toujours plus bas dans l’obscur.

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