
Ce billet a été préalablement publié le 17 février 2025 par Le Point, que je remercie sincèrement.
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l’art ouvre une plaie infectée d’absence au flanc de la réalité
Romain Gary, Pour Sganarelle
En août dernier, l’écrivain franco-algérien Kamel Daoud publie Houris, son nouveau roman. Le 2 novembre, j’en débute la lecture ; le 4 novembre, il remporte le prix Goncourt (malgré leur enchaînement chronologique, ces deux événements n’ont probablement pas de relation de cause à effet). J’ai donc lu Houris – ce en quoi je diffère de la plupart de ses critiques.
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Le livre en deux mots