
Au lendemain du premier tour, petite revue à vif des résultats peu étonnants [1]. Il y a, bien sûr, beaucoup plus à dire ; les réflexions et analyses plus charpentées viendront en leur temps.
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Au lendemain du premier tour, petite revue à vif des résultats peu étonnants [1]. Il y a, bien sûr, beaucoup plus à dire ; les réflexions et analyses plus charpentées viendront en leur temps.
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Quelle campagne électorale pourrie ! Certes, coups tordus et boules puantes forment la partie détestable du folklore en campagne présidentielle. Et pourtant, d’élection en élection, le crescendo semble n’avoir aucune limite. L’exemple américain du trumpisme, malgré son dernier échec, a été bien compris par les « stratèges » qui accompagnent les candidats. Plutôt que de tenter de draguer le plus largement possible avec des discours et programmes aussi lisses qu’insipides, la démagogie se retourne comme un gant. L’objectif bascule en son envers tout aussi scabreux : cliver, provoquer, creuser les fossés, radicaliser la base des fans hystériques, déployer la plus grande brutalité possible… tout en se faisant passer pour la candide victime de ces mêmes stratagèmes que l’on dénonce chez les autres.
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La France est dans un état catastrophique et, hélas, ce n’est pas la prochaine élection présidentielle qui peut nous faire sortir de ce long hiver. Après cinq ans de macronisme, le paysage politique n’est qu’un immense champ de ruines sur lequel règnent des idéologies mortifères et des pantins sinistres.
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Ils me fatiguent. Ils ne pensent vraiment qu’à ça. Ça : la présidentielle, l’Élysée, bien sûr ! En pleine crise sanitaire, alors que les hôpitaux craquent et que les gens meurent, ils plastronnent et commencent à jouer des coups de billard à quatorze bandes pour griller leurs adversaires putatifs. L’intérêt général ? peu leur importe, seuls comptent les leurs, d’intérêts bien calculés. Les médias, complices de ce théâtre des vanités, s’en régalent, tirant comme toujours des plans sur la comète qui se révèleront aussi faux que les prédictions de leurs drogues sondagières. On s’en fout, ça fait vendre, coco ! À la même époque il y a cinq ans, ils n’avaient pas encore misé sur Emmanuel Macron et affirmaient haut et fort qu’Alain Juppé serait triomphalement élu… ce en quoi, finalement, ils ne se sont pas tant trompés que cela, la politique appliquée étant peu ou prou celle qu’aurait menée n’importe quel candidat LR. Quoi qu’il en soit, tout ce petit monde a décidé qu’à encore un an et demi de l’échéance, la campagne était déjà lancée. Au secours ! Lire la suite…